[L1-J27] Nice – Nancy (1-1)

 

Déplacement à l’autre bout de la France. Je serai la seule AFC à partir de Nancy. Départ en train, via Paris un avoir plus de souplesse dans les horaires. Mes aller/retour quotidiens entre Nancy et Paris me permette d’effectuer le déplacement gratuitement.

Départ le samedi matin sous la brûme de Nancy à 8h13, arrivée sur Nice à 16h26. Pas de retard, je retrouve le soleil à partir de Lyon. Vincent m’attends à la gare. Il devait aussi aller chercher Noël à l’aéroport mais son vol a été retardé. Un petit saut à l’appart de Vincent, puis nous allons chercher Popoche qui vient de sortir du travail. Direction le stade du Ray. 

Nous y arrivons une bonne heure avant le coup d’envoi. La place en poche, direction la fouille qui fut on ne peut plus légère. Pas de buvette coté parcage, donc direction la buvette des latérales sous le regard de la sécu niçoise. Ensuite installation de la bâche qui fut parfaitement poser et tendu par Vincent, comme vous pouvez le constater sur la photo. 

Début de match, quelques chants lancés par les personnes présentés, pas de capo « officiel ». Dès qu’un chant s’arrêtent, quelqu’un en relance un autre. En tribune, nous sommes un peu plus de 40, dont seulement 3 AFC : Popoche, Vincent et moi-même. 
Lorsque Nancy parvient à marquer contre le court du jeu, une petite dizaine de personnes montent au grillage. Puis les chants se sont fait plus disparatre, je suis partie rejoindre les niçois qui s’étaient placés  en haut de la tribune pour guetter l’arrivée de Noël avec son mythique vélo. Il a atteri à 16h30, et rentré en bus chez lui, à pris son vélo et n’a raté qu’une vingtaine de minute du match. 
Perso, je resterais en haut de la tribune avec mes deux acolyte jusqu’à la fin du match, tout en suivant assidûment le match et discutant car nous ne nous voyons que peu souvent.
Noël nous fait une remarque assez amusante, les CRS en contre bas de la tribune s’ennuient tellement qu’ils font une partie de carte dans le fourgon avant de partir 5 min avant le coup de sifflet final.
Le coup de sifflet final arrive, Popoche qui n.’avait pas voulu monter au grillage (je le comprends) pour installer la bâche, se retrouve rapidement à p lus de trois mètre du sol pour essayer de récupérer un maillot mais n’y parviendra pas et se retrouvera même avec quelques écorchures. 

Match nul, c’est le minimum qui fallait ramener de Nice. Après le match nous disons au revoir aux gens présents puis nous nous dirigeons vers la sortie des joueurs afin que Vincent puissent voir un des ses amis. Nous repartons ensuite à la voiture au côté du buteur niçois du soir (si j’ai bien compris). Un petit resto à 4, avec charcuterie à volonté et du Picon. Puis nous nous disons tous au revoir. J’irais dormir chez Vincent qui me déposera le lendemain matin à la gare. 

Le retour en train fut plus difficile à encaisser que l’aller, peut être le retour dans la grisaille, le faîte de quitter trop rapidement des gens qu’on apprécient, le retard en gare de l’est du un incendie, la fatigue… Un mélange de tout,  je pense. Je poserais mon sac à Saint Max vers 19h30 le dimanche.

C’est la première fois que je faisais un dép. toute seule, ça fait assez bizarre surtout pour moi qui aime parler. Mais le plus important a été fait, la bâche a été posée et le grand chelem de l’AFC peut continuer.

Un grand merci à Vincent et Popoche, qui m’ont fait passer un très bon week-end dans les Alpes Maritimes.