Nancy 4-0 Monaco

Premier match à domicile de la saison, Picot nous avait manqué. Pour l’entrée des joueurs on prévoit deux messages distincts : « Explosez le rocher ! » et « Une voix, notre voix, Au revoir Dede. »

La réalisation de ce message a eu lieu vendredi. Initialement prévu sous Hazotte, on peindra/graffera finalement sur le P7. On a bien laissé sécher le message peint, on craint quand même un collage.

Samedi, la journée débute vers 14h pour l’empaquetage des confettis. On commence à 2 on termine à 6 ou 8. On décide de poser les confet’ seulement au dessus du groupe. Une fois les confet posés, les jeunes vont vers le P7 histoire de boire un coup, d’autres restent à l’entrée 2 pour la billetrie.

Le coup d’envoi approche, on rentre le matos. Mise en place des messages un peu nerveuse pour ma part. Les joueurs rentrent sur le terrain, « Explosez le rocher » est sorti, ca colle pas, c’est nickel. Maintenant, c’est autour de l’hommage à Dédé, bien applaudi dans tout le stade, la première partie de notre message est entaché par une ou deux personnes voulant voir le terrain… No comment.

Les messages descendent, va falloir se bouger devant le podium. On tourne à deux tambours. On est un petit noyau à chanter, y a de la motivation, on voit certains membres ,d’habitude silencieux, reprendre les chants. La tribune reprend quelques fois, et bien, notamment « Tribune Schuth ». « Bon chaos sur le premier but » (depuis le temps que je rêvais de la sortir celle là). Les premières cloques sur mes mains apparaissent, il faut que je tape moins. Deuxième but sympatique en tribune, c’est la fête.

C’est la mi-temps, RAS, Kokusho a oublié les chipster.

A la reprise on plante un 3è but, là aussi c’est le dawa. La pianto nous lance des échanges, ça faisait longtemps qu’on les avait pas entendu. Réponse correcte. Enfin le 4è but nous arrache.

Monegasques entendus au tout débuts de matchs, mais là, c’est clair, on les entend plus. Pas de chambrage.

La fin du match est sans problème, un gros du groupe reste en tribune, là où on se retrouvait à 5 ou 6 pour remballer.

Après-match sur le P7, on attend les torches de Djoune, et c’est parti pour le craquage. Ses torches sont périmées elles balancent un truc à la fin. Certains décident d’aller manger au kébab, d’autres rentrent.

Bonne soirée pour la plus part d’entre nous, ambiance à confirmer pour la venue de Toulouse.